En 1501, à Florence, n’ayant que peu de moyens, Léonard de Vinci se penche sur l’astronomie « Manuscrit Leicester – Les terres de la lune ».
Et, pour lui, l’observation est claire : il y a des océans et des continents sur la lune. De plus, la portance de l’air lui est apparue comme une source majeure d’inspiration, c’est même l’illumination !
Effectivement, les oiseaux usent de cette portance pour s’élever. Pour Léonard de Vinci, nous devons conquérir le ciel à la recherche de nouvelles terres c’est l’avenir de l’homme.
En même temps, il prépare « La Vierge, l’Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean-Baptiste », où sainte Anne montre du doigt le ciel comme pour indiquer que l’avenir des enfants se trouve au ciel. Cette œuvre est l’idée largement plébiscitée par le public.
D’ailleurs, Raphaël passe par Florence et rapporte ce concept à Rome. Le principe est largement débattu et elle est rapportée dans l’œuvre « L’école d’Athènes » de Raphaël. La conclusion est que Léonard gagnera le salut de son idée et évitera, de fait, toute sanction épiscopale. Effectivement, la bible n’interdit pas à l’homme de gagner le ciel par ses propres moyens. Léonard ira à Rome débattre sur le sujet.
Léonard est disputé par les Français et les Florentin, quelques commandes tel que La Bataille d’Anghary », qui se trouve être une fresque monumentale dans la salle du grand conseil de Florence et une réitération de la vierge au Rocher retiennent Léonard à Florence.
Mais au fond Léonard veut retrouver son académie, sa fonderie Milanaise pour mettre en oeuvre son véhicule céleste !
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