Léonard doit régler tous les aspects du procès, il sait qu’il sera jugé par contumace. Mais il se rappelle le serment de Blandine qui lui a promis de dévoiler à l’enfant qu’il a été conçu par amour.
Puis, Léonard convoque le Prieur de Lassay sur Croisne, lieu où il a fait détruire les fortifications et construit un château de plaisance, pour l’entretenir sur sa confession de foi. A cet effet, il lui révèle toutes les clefs de lecture de la fresque qu’il a peinte dans l’église de Lassay et finit son discours par cette phrase : « Apprenez à connaître le mystérieux afin de rendre fécondes les terres célestes. C’est pour cette raison que vous devez faire le bien sur terre !»
J’ai été accablé par la femme de viol afin de purifier notre couple. Notre dispute et notre altercation tumultueuse ont permis d’éviter à cette femme la honte de porter cet enfant, mais a meurtri notre couple. Cette dispute et altercation tumultueuse ont été efficaces. Ah ! Cette altercation a été redoutable par sa sagesse et a permis de lui éviter l’effroyable destin qui était redouté. A cause de cette révélation, elle a pu faire connaître son effroyable plainte. Le destin craint pour elle était un ordre de bannissement naturellement lié à la naissance de l’enfant.
MA111R
A ma maison de campagne, la femme gouvernante a été emmenée selon les coutumes. Elle m’a fait le serment de lever le mensonge en racontant notre union à ma géniture. (…) comme étant un nourrisson légitime de notre couple. Ici, je suis soulagé de l’irréprochabilité de notre couple. Je suis triste de n’avoir pas pu nous appuyer sur un mariage, nous savions parfaitement le risque encouru par les guerriers furieux. Ma femme a la joie d’être protégée convenablement et ainsi, d’une manière heureuse, d’élever légitimement notre enfant. Ceci est mon raisonnement. Cependant elle redevient veuve à nouveau.
MA111V
MB097R
» Je proclame ma confiance en cet endroit où sera conté avec succès ce prêche grâce à la représentation peinte en Septembre 1518. La communication sera faite selon les règles dans ce lieu consacré et, honnêtement, en regardant autour de l’autel. La confiance en le savant avec son bâton facilitera la parole pour éveiller à cet enseignement. Je suis soumis au jugement de mon emprisonnement et à son effroi ce qui est pour moi une croix. Chacun peut être confiant en sa femme et se réjouir de mon épouse et de son nourrisson. Un bâton de dignité est attaché au personnage précisant la volonté de convention avec le souscripteur de la réalisation. Les deux emblèmes de la famille y sont accrochés. Les observateurs auront fort à blâmer le personnage bien proportionné et habillé d’un style noble sur un rivage connu. La volonté est d’enseigner et de faire connaître la vertu aux villageois. Très grandement, les rudiments du récit sont exposés dans ce lieu permettant de prier. A droite au long du personnage, on peut reconnaître, par la représentation, le lieu où la volonté a été de supprimer le débordement du cours d’eau par un fossé détournant les eaux vers un gouffre dans la partie antérieure ainsi illustrée. Ainsi est illustré le village dévasté et le fossé creusé avec le débord du cours d’eau. Les anciens seront honnêtement juges de l’ouvrage. Avec assurance, le paiement a été rapide et équitable. L’argent a été prêté généreusement et à profusion. A la suite, il y a un personnage riche et fortuné fort bien représenté somptueusement et grisâtre, c’est moi ! Celui qui montre en éclairant, s’élançant pour soulager tout ce qui menace la ruine, s’intéressant à tout et en tout lieu, c’est moi avec mon efficacité. La grande peinture a été voulue sur un large espace pour que les hommes communs puissent reconnaître la description des lieux, qui sont de bonne qualité. La couleur noire est favorable aux cérémonies heureuses et en ce lieu. Le prêtre peut, avec ardeur et stimulé par la peinture, trouver les arguments de son prêche. Prier pour les bateaux de transport qui, dans cet endroit, sont des réalisations irrationnelles. Ces machines mystérieuses sont des louanges aux navires mais peuvent être regardées comme des fautes de représentation. De fait, en ce lieu et en trouvant les arguments, proclamer les louanges avec l’effet de faire rire. Puis, en ce lieu, religieusement, s’appuyer sur cette erreur en rappelant le bon service des barques pour traverser. Ce qui est, pour moi, une croix. Et, bienveillant, en homme savant, produire un discours d’éloge avec l’esprit de recréer, telle une critique de la raison. Et, en ce lieu raconté, en exposant verbalement le sujet de cette bonne action qui a pour raison le triomphe de Christophe Colomb qui a permis salutairement de découvrir un nouveau lieu vierge de possession. Ici, ce même accomplissement dans le ciel est incontestable. Je suis d’avis que l’on en ait la liberté, excepté si des disputes nous font subir un châtiment divin. Nous voyons les ailes poussées fermement avec force. Une machine de bois de charpente, de planches et de chevrons démontrera grandement son efficacité comme naturellement familière. Le château est naturellement en haut et au sommet de la colline. Il est splendide et noirâtre. On peut aller le contempler. Il a été construit de nouveau avec soin. On peut y voir une réflexion dans chaque épigramme qui a été fait avec la volonté de produire un effet ornemental. On peut ainsi contempler un conseil difficile à comprendre. Cette recommandation de se libérer avec joie est le conseil d’un homme savant disparu en un endroit d’où l’on ne peut revenir. Dans ce lieu, cette machine sera fabriquée en justes proportions jusqu’à son complet achèvement. Et apprenez à connaître le mystérieux afin de rendre fécondes les terres célestes. C’est pour cette raison que vous devez faire le bien sur terre. Ce qui est pour moi une croix. »