1519 Le suicide de Léonard de Vinci

Le tribunal a enregistré la plaine de Blandine. Les aristocrates menacent Léonard de la peine capitale.

Le 01 Mai 1519, pour éviter un châtiment effroyable et le déshonneur éternel, Léonard décide de s’empoisonner avec ses encres mélangées a du vin. Seul, devant le tableau de Blandine, il s’affaiblit. Et, dans un dernier élan, il décide de commenter l’action du poison sur son corps puis s’éteint dans un chagrin funèbre ….

Approuvé entièrement par moi, ma femme victime de violence, présentée en couple séparé m’a accusé avec dureté. (…) Elle a demandé l’indulgence en se courbant par usage, dans ma maison, elle redoutait ma colère et mes châtiments violents, mais a pu efficacement se disputer (…) Je suis perdu, les aristocrates me menacent de dommages douloureux. Ce crime est connu pour être fatal, le tribunal approuvera une mort inflexiblement.

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Notre couple, avec un courage fraternel et inflexible, nous avons fait honneur à notre volonté. (…) Au tribunal, j’ai été accusé par la gouvernante et ses arguments ont eu de la valeur et il a été approuvé comme étant une faute honteuse les rendant furieux.

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Être regardé comme fautif d’un viol, notre couple est blessé. Brisé, je suis un orateur sans énergie et me retrouver au même endroit que la femme gouvernante sera dure.

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Je dois éviter les opinions et dois chercher ce qui cause la mort par ingestion ainsi j’éviterai les opinions face à mon accusation. (…) Je suis malade est disposé à mourir depuis déjà quelques temps. Ici, je redoute la nature humaine (…) pour ces effroyables châtiments. Le tribunal est furieux de mon soudoiement des deux gardes et me condamnera à mort pour ma débauche dangereuse. (…) Et, sans doute, me reprochera-t-on ma frivolité et ma folie furieuse de me mettre à nu et ma volonté de posséder cette femme. Ici, cette condamnation me déshonorera gravement pour l’éternité.

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Affaibli et redoutant l’aggravement, l’ivresse du vin permet la mort sans empêchement. Se souvenir d’un vieillard déplorable, par une épitaphe mensongère, qui reconnaîtrait les disputes cruelles des fanatiques. La morale, conformément à l’amour, « Félicité de l’amour » est de dire adieu pendant la nuit d’une manière heureuse au domicile avec de fatales flacons de teinture. Se souvenir de la femme de ce lieu est le moyen d’échapper à la souffrance. Éviter le courroux des fanatiques, sur cette courageuse femme ainsi que pour l’amour de sa fille fragile, sera la raison pour laquelle je lui porte secours par ma mort. En même temps ici, je vais étudier la mort au recours de cette boisson capiteuse. Ici, il y a le souvenir de mes ouvrages souvent utilisés pour me porter secours sur divers sujets. Ils sont dans les rayons de ma bibliothèque. J’ai de la peine à boire avec lucidité. Des raideurs me prennent et je suis emporté par des larmes : c’est un état désespéré. En ce lieu, s’érige mon intime femme. Ce souvenir, peint sur son piédestal, est une cruelle croix. Par cette argumentation bien funeste, ma feuille d’écriture est horrible et provoque d’une façon troublante mon découragement. Là, je suis d’avis mais sans fondement qu’à cause de ce secret, il y aura quelque chose d’abominable et de difficile à comprendre. (…) « 

Par la Félicité de l’amour, c’est un châtiment fatal que je vais étudier. Cet accomplissement doit être traité. Je bois graduellement cette boisson capiteuse qui me met dans un trouble agréable et plus qu’il n’en faut. (…) Je deviens languissant et sans énergie pour mettre en mouvement les articulations de mon corps. Le raconter me demande un effort pour revenir à moi et le souvenir me chagrine et, ici, je fonds en larmes, larmes funèbres en réalité, …

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                                 ….. FIN

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