Un texte, issu des manuscrits de Léonard de Vinci, nous permet d’écrire ce qui va suivre. Néanmoins, ce texte nous marque par sa brutalité. Une brutalité dont nous n’avons pas l’habitude. Car elle est loin de l’image relationnelle que l’on se fait de Léonard de Vinci et de François 1er.
« Me voici l’esclave à tout faire, hé ! Bien, de bon goût, dominant François 1er constitué, argumentons l’affaire. Changez père, vous parlez en personne ou même en frère d’esprit de votre divin grand Dieu mais de manière déplaisante, les mots de votre bouche sont odieux. Voilà, le pouvoir est tel que la justice de votre personnalité vous abandonnant en vous appuyant sur votre agitation violente et nerveuse, vous avez désiré m’enlever mes compatriotes artistes. En me laissant errer çà et là en imbécile, c’est vraiment une parjure à la bonne religion. C’est une guerre de pouvoir contre moi.
Le conforme à la morale est le plus important. Et, de manière louable, je vais réellement et pleinement vous dévoiler le travail dont je suis attaché à croire fidèle. Distribuer à présent les inventions et chercher à vous informer pieusement en les mettant à la disposition de tous. Soyez heureux de rire aux lignes que je vous donne. Mais, auparavant, il faut vous dire de les modifier pour ne pas, à cause de cela, se perdre. Découvrez ce qui met en lumière, ce qui est masqué. Pour trouver, décomposez astucieusement, abondamment et intuitivement le texte. Mais, du moins, en mots de deux ou trois lettres et sans aucun lien de contexture. A ceux-ci, rapidement, les honorer d’une extension pour faire apparaître clairement un message. Le message ne sera vrai que lorsque vous le penserez complet. Sinon, disloquer les extensions données et recommencez plusieurs fois et autant de fois que vous considérerez le message obscur.
Voilà, le fait est d’en faire usage sans tromperie. Le texte vous est confié en vue du remerciement de votre générosité et pour faire le bien mais surtout pour ne pas vouloir être au-dessus de vous-même. »