Manuscrit A Folio 001V-2

Léonard teste ses disciples à la lecture des niaiseries obtenues après codage du texte. faisant suite à leurs perplexités, il leurs dévoile la technique de lecture.

J’achève par une lecture à haute voix et distincte et en appuyant sur ce qui interroge, je rends propice la garantie d’une juste harmonie stupide qui visiblement s’appuie sur une alternative savante,  en cherchant des détours d’un dilemme visiblement drôle. Spontanément je cherche à découvrir l’erreur du constat.

Il est efficace de faire connaitre ces plaisanteries aux novices. Qui égarés et incontestablement mal assuré extravague sur le sujet. C’est pourquoi j’ai rapporté des schémas dans mes ouvrages aussi souvent que possible et j’ai veillé à informer sur la difficulté   de mon écriture tronqué de l’extrémité. Le plus important est de leur dire  que la lecture des balivernes sont vaines dans leur apparence. Et que ça épuise de lire des balivernes à moitié savantes.

Il faut reprendre le mot et le découper en syllabe totalement. A chaque syllabe donner une extension approximative afin estimer un message possible. Chaque mot détaché peut révéler une plaisanterie. On doit donc  effectuer la lecture complète en parcourant attentivement le raisonnement étudié bien entendu. Puis tour à tour évaluez les mots, puis dans le désordre et là, honnêtement dans une grande quantité. Sans relâche façonner le texte complètement jusqu’à une réflexion intelligente. Puis avec soin racontez.

Le secret et de rechercher à partir des abréviations syllabique. Il va de soit que les hommes savants décryptant  doivent être doublement érudits.

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