Léonard construit deux maquettes identiques par projet et fait participer ses novices à leurs élaborations. Une des deux maquette est située au Clos Lucé et l’autre sur le lieu du chantier.
Confiant dans la dureté de construire des choses extraordinaires en juste proportion et avec soin, je façonne la maquette par morceau, cela a de la valeur pour voir et avoir confiance lors de l’approbation des assemblages de planches. Je travail avec soin et en même temps j’arrange en achevant d’une manière bien ordonnée la maquette. Je m’alarme tour à tour en l’examinant avec soin. Il m’appartient d’élever la maquette afin de porter secours aux novices avec elle.
Elle guide les communs des hommes dans leurs facultés à s’exprimer. Ils peuvent critiquer avec ardeur et censurer, c’est très plaisant. Ils peuvent critiquer avec des indications précises. La rigueur avec laquelle la maquette est montée, révèle d’une manière brillante tous les défauts.
Aux novices elle est exposée en morceaux détachés pour leur exposer le montage. Je peux abondamment faire varier la maquette en coupant adroitement les petites poutres. Les divisions de la maquette son un bienfait. Pour le montage les divisions son attachées par des garnitures en fer.
Une fois élevée la maquette est frictionnée avec de l’huile de noix. Afin de la montrer la structure nécessite d’être mise dans un sac de cuir commode et solide pour le coursier.
Par sécurité la maquette sera réalisée en double. Les maquettes sont montrées au hasard des novices et je les sollicite instamment dans leurs observations sur les différentes dispositions.