Devant les rumeurs grandissantes à l’encontre des faveurs accordées à Léonard tel que le gîte et le couvert, Léonard de Vinci demande à François 1er sa liberté afin de libérer le Clos Lucé.
Cette économie suffira, selon Léonard, à combler le préjudice du contentieux. François 1er n’est pas d’accord. En gage de préjudice, François 1er lui demande de former les jeunes recrues émigrées et de réaliser à la demande des maquettes de constructions.
Mon domicile est sujet à querelles. Je désire supprimer cette querelle en demandant la liberté de m’en aller, ce sera une économie légitime. Et cette économie demandée supprimera cette querelle.
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L’échange a été effroyablement décevant. J’ai été condamné selon les coutumes, il a été dit explicitement et avec colère qu’il y avait un préjudice. J’ai ému par mes blessures et mes nombreuses meurtrissures qui sont causées par économie naturellement. Comprenant, ici, l’utilisation des transports en voiture. A l’origine les domestiques témoins de mes conseils savants pour bâtir me faisaient honneur en les retransmettant sur le lieu de la construction.
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Je dois conformément former les émigrés c’est une économie. On m’a estimé estropié. Alors, former en maître selon les coutumes et assembler des maquettes de propriétés rurales sera l’économie en préjudice.
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Retour : 1519 La blessure au bras de Léonard ne guérit pas !