En ce début de printemps 1518, Léonard donne de nombreux de conseils sur divers projets en cours de réalisation.
Il réalise un moulin à Mont-prés-Chambord, à Neung sur Beuvron. Il réalise l’arpentage des remparts de la cité. A Montrichard, il travaille sur l’accessibilité du château, à Selle-sur-Cher, il réalise l’arpentage des remparts du château ; et, enfin, il réalise l’arpentage de la cité de Romorantin.
Mais, Léonard doit se rendre à l’évidence, les voyages le fatiguent et le rendent malade. De retour à Amboise, il prend en charge la rénovation des Greniers de César situés proche du château d’Amboise, aujourd’hui dépendant de l’hôtel de Choiseul.
J’ai d’autant mal au ventre. Je suis dans l’embarras de voir mon état de santé affaibli. Manifestement, c’est à cause des transports en chariot vers le château. La visite est une charge en usage et mes tremblements viennent de là. En ma demeure, je chancelle d’une manière désagréable, j’ai aussi des coliques et mon état de santé est lié aux commandements et au château selon les rites en vigueur. Voir c’est pouvoir connaître, je dois alléger mes aller et retours et les diminuer pour les rendre supportables.
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I l est reproché aux agriculteurs d’avoir abandonné l’entretien des puits de mines, dans un état d’affaissement, pour recevoir les récoltes de moisson en grand nombre. Il est observé en plus que les maçonneries de briques sont menaçantes. Ces puits de mines peuvent être très utiles pour stocker le blé. Je suis favorable à la demande de me charger de ce bâtiment.
Confirmation des débris.
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