L’homme de Vitruve (Part – 1)

Pour créer son costume parfait, Léonard de Vinci étudie l’homme de Vitruve.

L’homme est un bipède fécond en plaisanteries et a un certain talent pour être craint, j’en suis certain. Et s’appuyant sur son apparence, il accomplit l’amour au service de la paix. Il a un talent redoutablement craint mais raisonnable. L’explication de cet auteur est un triomphe dans son action de mentionner et de dispenser les règles de la victoire de l’homme, nous enseignant ainsi la beauté du savoir. Agissant par harmonie naturelle, il veille au raisonnement ingénieux et convenable où l’homme a accompli l’action de s’élever sans chanceler. Action naturelle que chacun peut accomplir et utiliser. La mise en mouvement est une volonté de l’auteur qui m’a permis de créer, ici, l’œuvre. La réussite a été de concevoir une mesure déduite de 4 pouces remplacée par une paume et ainsi construire de la jointure des pieds 6 paumes et de fabriquer de nœuds en nœuds les quatre membres bien proportionnés supportés par le tronc par 4 jointures bien proportionnées. A cette réalisation est jointe l’action de remuer en s’ouvrant les quatre membres. Le tronc et la poitrine ont été limités et mis sur une même ligne de représentation de l’homme dans son entier de 24 paumes. Et ainsi joindre à l’homme l’action de remuer. La création repose sur le fondement inflexible des mesures formant une cohésion unique qui manifestement est entièrement et parfaitement liée.

La réussite a été de tracer, à partir du nombril, un cercle parfait de 14 paumes et d’avoir deux supports satisfaisants. La tête et la poitrine complètent de façon satisfaisante l’un des supports. Tous sont donc liés conformément. La réussite de cette création est le cercle, qui selon l’explication de l’auteur, fait l’éloge de l’union qui est la cause de sa définition qui reste circonspecte dans l’art de trouver des arguments inflexibles. Cette splendide loi est digne d’éloges pour la recherche des mesures du vêtement parfait.

La recherche d’une profusion de la grandeur de l’homme est, à ce point, rassemblée chez le fermier, qui par sa manière d’agir et avec un courageux pouvoir, l’a adapté pour le bétail. Il emploie souvent sa baguette flexible l’agitant en fouettant pour fidèlement et promptement mettre aux pas les animaux. Cette baguette nécessaire est adaptée générant une crainte menaçante sur flanc des animaux par son bruit. Les rudiments de ce pouvoir sont commodes à manier, tels un trophée élémentaire produisant un bruit manifestement connu des animaux. Ce pouvoir est pour cette raison souvent employé dans les labours d’une manière sobre, soudaine et bruyante. Il permet de se réjouir dignement de cette chance de pouvoir faire se relever ou avancer les animaux par un fouettage qui ne fait pas mal et par le pouvoir de la crainte que la baguette inspire.

Échelle : définition de la proportion d’une paume de main.

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