Manuscrit trivulziano Folio 038R

Léonard apprend à coder ses textes, chaque syllabe doit correspondre à un mot latin et chaque suite de syllabe doit correspondre à un mot italien. Il obtient ainsi deux textes en un.

« Avec soin, il achève la combinaison proportionnée pour l’interpréter par les songes. Dit en peu de mots balbutiés, il réussit, en homme savant se mettant au supplice. Le mot en question est façonné en vue d’enseigner. Et, de manière approximative, estime l’abrégé en faisant grand cas du ridicule. Le maître d’enseignement s’applique fortement à composer et façonner les mots dans le but d’enseigner comment chercher à reconnaître. »

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