1495, Léonard ouvre son académie des sciences techniques à Milan, ses enseignements sont étayés par l’observation de maquettes.
Le gage est d’être le seul juge des ouvrages et d’organiser un témoignage pour porter à la connaissance des étudiants l’évidence. Puis, afin d’en apporter les preuves, raconter les écritures savantes par une lecture à haute voix.
Le profit sera le triomphe d’être mentionné dans la communauté des juges des ouvrages. Cet engagement est pris en fournissant la caution du triomphe légitime des ingénieurs, de leur efficacité en faisant honneur par leur bienveillance.
Cette fonction publique demande seulement, au fond et légitimement, d’agir pour corriger les erreurs. Et, de manière précise, les leçons doivent être prouvées ou estimées puis, conduites par l’éloge de l’intelligence. Par conséquent, les préceptes doivent être donnés pour connaître une chose avec beaucoup d’exactitude. Il faut raconter en détail sans pouvoir être refusé et de manière précise.
Par n’importe quel moyen ou manière, des maquettes doivent être fabriquées avec la volonté de pouvoir convenablement les commenter avec la rigueur du savant. La maquette doit être façonnée en détail pour disposer de sa définition face à soi et pouvoir ainsi enseigner toute la rigueur de la conformation. La maquette d’enseignement doit être séparable en deux parties afin de démontrer l’intérieur, après la division. La maquette est munie de fenêtres déterminées pour l’observation dans le corps. Cela permet d’enseigner de manière précise et d’élever l’étudiant.