Manuscrit L Folio 006V

Léonard doit tout mettre en œuvre pour estimer les dégâts. Pour lui, l’incendie est plus ancien que ce qui a été déclaré. Il apprend qu’en réalité l’incendie date de décembre 1517.

Il est permis de supprimer, de raser, de faire tomber entièrement tous les obstacles nuisibles. Des moellons sont écroulés sur A.B. et, de toute part, la ruine tombe.

L’exécution est d’abattre et de mettre en talus dans les fossés entourant le lieu et aussi bien le chêne que la pierre, jusqu’à ce que la ruine soit entièrement écroulée. La boue est partout, des crevasses énormes s’enfoncent profondément jusqu’au fond du château. Par les fenêtres, elle s’est répandue au dehors. Le coteau a été détruit par les pluies d’orage et elles l’ont puissamment rejeté au-devant. De grandes quantités d’averses ont complètement rempli le château et les remparts sont corrodés par l’absorption de l’eau.

Le feu a été consigné en février. Je déplore un mensonge et un retard dans la communication dus à la confirmation du temps exprimé à mon regard.

A diverses reprises, j’ai demandé aux nobles gens du village mais, spontanément, ils ont accusé des difficultés à l’admettre et ont été embarrassés. En demandant aux braves gens timides et hésitants, ils ont été accablés par la difficulté à préciser la date du sinistre.

Avec succès, invités par un ensemble de plaisanteries, fortuitement et ouvertement grâce à divers échanges, ils ont rapporté la date de décembre. Enfin, voici la divulgation de la cause de l’érosion mystérieuse du château.

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