Manuscrit anatomie folio 131R – 132R

Sans succès Léonard cherche à retrouver les grâces de son père. A cet effet il rédige une complainte en complément de l’oeuvre de l’homme de Vitruve.

Le sujet dessiné dans son entier est seulement mis en mouvement en s’appuyant sur sa base. La création a été de faire un carré contourné. Ici l’homme a l’apparence d’accomplir l’amour comme étant la plus haute intelligence de la vie.

Puissant par nature et efficace, l’homme peut aisément menacer par une expression féroce, dans le but de revendiquer son mécontentement par l’apparence. Une autre violence courageuse est celle du fermier, qui menaçant d’une expression féroce, a vraisemblablement pour but d’entretenir de cette manière sa métairie. Dans cet endroit il y a une vie harmonieuse où la sagesse du fermier est de ne pas vouloir peiner. Avec certitude, il agit pour décider de cette chance. Ainsi le fermier diminue sa peine, c’est la cause qui forme l’harmonie de cet ensemble méritée.

Pourtant le fermier emploi ce pouvoir en cet endroit, c’est un lieu de lutte, où l’on apprend l’harmonie de la vie avec sagesse. C’est la victoire de l’homme sur la peine, courageusement et puissamment le fermier soumet la paix. Pourtant le fermier emploi un pouvoir fragile, il s’emploi à fixer le plus raisonnable. C’est la victoire de l’homme sur la peine, courageusement et puissamment le fermier soumet la paix.

Le fermier est un expert certain, quelque chose de naturel s’accompli rapidement avec une admirable sécurité. La force contrariante est transmise avec calme. Le travail pénible doit être fait de façon certaine et avec douceur. À ton sujet, l’obéissance par la crainte est certaine. Et je t’en parle manière valeureuse et joyeuse.  La crainte éveille l’altercation et la soumission par la force et endurée par le fermier, trainant une puissance bruyante sur le flanc.

Pourquoi toucher ? L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. À l’origine le travail pénible réaliser avec la main engendrait amplement la sagesse. Une dignité historique est la confiance du berger et son aptitude. Je rapporte ce souvenir en m’appuyant sur des commentaires sûrs, c’est un travail pénible.

Pourquoi toucher ? L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. Le laboureur a donc la valeur d’un roi qui établit la paix. La crainte peut être endurée par une baguette. Et piquer avec cette baguette en alternant avec la voix. Le châtiment avec la main est une violence excessive.

Pourquoi toucher ? L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. La force est l’apaisement alternatif magique de la main sur le côté de l’animal. Cette vie harmonieuse est accomplie par des caresses bien adaptées c’est la félicité de l’amour. De fait de manière honorable les engagements sont calmés.

L’obéissance par la crainte est une attention pour apaiser et calmer les désagréments des troubles d’un engagement. L’action de porter secours par la main est une faute de la félicité de l’amour. L’excitation est une action a évité pour ne pas effrayer avec sa main.

L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. Hurler des menaces est favorable ainsi que contester par la parole. Les critiques naturelles sont efficaces et pas du tout menaçantes. Réconforté l’animal et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux en hurlant. Soumis entièrement ici à la félicité de l’amour, l’animal approuve assurément la fidélité de la main.

L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. Vaincre par la puissance et le courage en cherchant à obtenir l’avantage en luttant comme le fermier berger de troupeaux est clairement redoutable à cause de cela. Félicité de l’amour,

Pourquoi toucher le flanc de l’animal ? L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. Vaincre par la puissance et le courage en cherchant à obtenir l’avantage en luttant comme le fermier berger de troupeaux est clairement redoutable à cause de cela. Ce savoir-faire est naturel et efficace, il grandi le fermier en puissance avec son art de trouver les arguments et de menacer. Le fermier menace souvent avec ardeur et demande toujours avec insistance.

Pourquoi toucher le flanc de l’animal ? L’obéissance par la crainte et digne de l’homme pour mettre en mouvement les animaux. Dignement les bœufs de labours obéissent par la crainte et efficacement façonne remarquablement le champ. La baguette familière leur et dévoilée fraternellement.

Hurler en trouvant les arguments pour menacer, donne naturellement de l’éclat au fermier, cela le grandit en puissance en trouvant les arguments pour menacer. Le fermier ainsi grandit en puissance, les bœufs efficacement cassent les denses mottes de terre des champs cultivés.

Cette technique de labour et transmisse de père en fils et pour cette raison Père, comptez sûr moi pour faire la moisson. Dignement et par amour faite moi l’honneur avec toute la rigueur d’examiner plus clairement votre fils apprenti ingénieur. Et par cette action vous éviterez le chagrin et des jours avenir plein de souffrances.

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