1480-82 : Dans son atelier, Léonard embellie ses clientes par des jolies robes agrémentés de broderies. Cependant il ne peut s’empêcher de résister aux charmes des ces nobles dames.
X m’a proposé de se mettre à nu ici dans mon atelier, incontestablement il a été plaisant d’approuver cette femme. Sa nudité est merveilleuse, X est une femme noble et a un corps de beauté. Et, ouvertement, en amante pour le loisir de la chair, cette femme a accueilli favorablement avec tendresse et faveur d’être soumise à la raideur de son amant. Et, avec joie, elle a répondu à l’amour comme en a témoigné ses bruits. Dans un délire de la passion, couchée sur le dos, trempée, enjambée par ma virilité (…)