L’origine du code de Léonard

Lors de l’étude des cachets d’oculistes, les lieux ou l’on les a retrouvé et le texte associé à ces dernier mon amené à penser qu’il pouvait s’agir de tampons Romain utilisés pour imprimer des ordres militaire pendant la guerre des Gaules par Jules César.

Le texte associé ne présentant pas spécialement de cohérence, j’ai eu l’idée de découper les syllabes et y adjoindre une extension pour former un mot latin. Et à force de manipuler les mots des phrases cohérentes me sont apparues.

J’ai appelé cette technique probante la déduction par découpage syllabique.

Par exemple : sur le cacher N°171 du catalogue des cachets d’oculiste découvert à Villefranche sur Cher(41), nous trouvons cette suite de caractères (écrit en spéculaire).

STEPHANI – AD DIATHESISTOL

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est cachet-de-Villefranche.jpeg.

Après découpe et implémentation nous pouvons avoir cette phrase cohérente :

STErno PHAlanx NI(tor ?)AD DIAtriba THEma SISto TOLeranter

Phrase que l’on peut traduire après avoir imaginer les coordinations par :

Calmer les hordes de guerrier Gaulois (ne faire que?) – Dialoguer et proposer rétablir le tolérable

Finalement nous pourrions nous attendre à une infinité de solution. Mais l’usage nous montre qu’en réalité il n’y a presque toujours qu’une seule solution acceptable. Effectivement l’ensemble des lignes du cachet doit être cohérente et raconter une histoire ou un ordre de CESAR !

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