Devant leur amour naissant, Lisa et Léonard s’accordent pour respecter les règles morales…
Plaisamment par séduction et affection pour cette jeune vierge, il est incontestable que je l’ai entraînée avec moi avec hésitation dans l’erreur du couple. Nous jouions souvent et naturellement d’une manière heureuse. Nous nous ceindrions avec la joie légitime de la plaisanterie. Mais ces jeux réalisés dans la morale et dans un calme tendre ont pris consistance en devenant du désir. Naturellement et fraternellement, je lui ai témoigné avec soin ma secrète affection pour elle. Cette déclaration de front de mon affection a été récompensée d’un triomphe, comme un époux choisissant son épouse avec la volonté de réussir. Par chance, pieusement et fraternellement, elle m’a honorée. Triomphant comme un couple d’enfants, nous avons attesté, selon la coutume, notre affection. Conscients, bien entendu, de la vertu en vigueur et dirigée par le ciel. Nous avons reconnu ensemble cette vertu sacrée comme étant une victoire de notre couple. Bien entendu, le droit moral des citoyens et leurs possibles plaisanteries futiles ont influencé notre raisonnement.