Manuscrit Forster II Folio 030V

Léonard nous décrit le fonctionnement d’un métier à tisser mécanique.

Fabriquer avec la capacité rapide et abondante du métier à tisser

Le but est de se servir du mouvement circulaire expliquée par la mise en œuvre et démontrée par le métier à tisser qui est mu par un ensemble de courroies.

Les vêtements s ont pour origine une toile teinte ainsi façonnée puis créé par une délimitation proportionnée du portique du métier à tisser redressant et rigidifiant en tissant une toile proprement en longueur.

La volonté est de concevoir un mécanisme constitué de traverses de bois façonnant en tournant et avec bienveillance. La volonté est d’innover par une nouvelle action de lier une fibre et d’un nombre considérable mais précis issus d’un inflexible calcul.

Le trépied du portique doit rester droit et dans le portique qui tisse la toile on doit pouvoir efficacement peigner, relier et extraire avec beaucoup d’exactitude cela d’une manière remarquable à chaque contre balancement emportant un poids avec force.

Et la fibre ainsi brodée doit être de bonne qualité et doit être accompli par le portefaix par un nombre considérable d’action de cette machine. Voila ce que je veux expliquer par ce récit.

Et accomplir avec honneur le calcul originel de la machine qui doit tisser solidement par la mise en mouvement alternatif d’un mouvement tournant à l’aide d’une courroie.

Pour tisser une toile, l’assemblage doit alterner issu d’un mouvement tournant produit par une courroie. Le calcul remarquable est la juste proportion d’un disque qui donne à son assemblage le mouvement alternatif. L’assemblage de bois doit être de bonne qualité. Pour faire de ce mouvement tournant une action de piquage avec effort puis de descente pour rendre efficace la liaison. L’exécution de l’entrelacement est une difficulté car il y a l’embarras de la fuite.

L’action doit être réalisée en deux parties. L’entrelacement doit être rigidifié de façon importante par la partie antérieure puis on doit casser la fibre d’une façon adaptée et plus qu’il n’en faut. La division de cette action permet de mettre en place l’accomplissement de la broderie. Les deux parties doivent être attachée rigidement et avec soin grâce au levier afin d’effectuer une traversée. Puis égalisé avec soin avec la main et en même temps couper pour partager et emporter le morceau mou. Effectuer une traversé sur l’étendue du tissu et portez ses efforts sur le fragment avec qualité. Retardez la machine le moins possible pour avoir une bonne liaison. Le mouvement est réalisé avec effort par un appuie naturelle. 

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