Manuscrit B Folio 019V

Pour satisfaire la construction des soubassements et notamment la cave de l’auberge de la Ferté-Beauharnais, Léonard invente le coffrage mobile.

La cave est construite avec soin, par l’intermédiaire d’une charpente et de ses liaisons inflexibles au carrefour. L’enseignement de la construction de la base est accompli. Éloquemment, à cet endroit, le tracé de la construction est visiblement partagé en deux parties.

La dissimulation, liée à cette maison, est ici présentée. A cet endroit, nous pouvons voir la base fortifiée par un rayon constant à supporter. Ce rayon est rapporté en détails dans un autre endroit du rapport par une courbe grossière et bénéficiant d’un appareillage de soutènement en triangle. Cet appareillage doit soutenir et peut être aussi grand que l’on voudra. Le coffrage est déplacé alternativement sous la construction en briques car cet appareillage est divisé en segments.

L’ouvrage, une fois confectionné, supprime l’une après l’autre la charpente selon les règles. Ne pas la briser d’une manière effroyable, mais la faire glisser avec force. C’est une bonne innovation.

Avec cette bonne méthode, la transporter facilement et agréablement avec perfection. C’est une bonne innovation. L’enveloppe doit être humidifiée, puis la battre d’une manière effroyable et énergique. C’est-à-dire faire trembler l’enveloppe enduite de boue et d’argile.

Cette nouvelle technique de fabrication est révélée, ici. L’enduit amolli et de faible épaisseur doit être affaibli par trempage. Cette exécution est une nécessité.

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