Léonard a émis sa doléance en public et les nobles présents le décrivent comme un mauvais sujet auquel on a tout donné : domestiques, etc. …
Il m’est reproché ici d’être un mauvais sujet à cause de ma requête. J’ai de l’affliction concernant mes paroles futiles de bienveillance envers la basilique. Mon honneur est détruit et est décrié par les aristocrates comme un criminel, comme quoi je suis tranquille dans ma demeure et qu’il m’a été permis avec bienveillance d’avoir à disposition des domestiques. Le tort sera de m’avoir fait prospérer avec complaisance.
Ces mensonges effrayants m’accablent et me blessent. Je suis affligé de chagrin et fatigué d’apparaître aux novices. Je vais éviter de traiter de la basilique avec eux en ma demeure. Je commence à trembler d’embarras à apprendre aux novices. Aux rapports d’édification d’émettre ma bienveillance par l’intermédiaire d’un domestique. C’est un tort. J’ai longtemps retardé de sortir de ma demeure et dirigé en passant sur le site. C’est économique de soutenir par l’observation afin de tout prescrire. Je suis embarrassé et même en colère d’avoir redouté de rencontrer les novices sur site.
En cet endroit, les Français me sont devenus arrogants. Apparaître m’effraye. Le pontife bien entendu m’a demandé de me confier et ici agissant selon le pacte signé a rapporté ma crainte. Mon affliction est relative aux torts criminels décriés efficacement par les puissants de la guerre.