Léonard passe en revue tous ses chantiers, Chambord, Fontaine, La Ferté-Beauharnais, Yvoy le Marron, La Ferté Saint Aubin … Puis, il se rend à Gien.
Tout se passe bien : les chantiers avancent comme il faut. A Chambord, les pieux de la fondation sont enfoncés et, à Gien, la façade extérieure est finie. Léonard s’enorgueillit de la beauté du style.
« Construit avec art et marqué par une profusion d’ornements majestueux entremêlés, ce château apporte beaucoup de joie. Plaisantes pour les hommes savants, les transcriptions font l’éloge de celui qui instruit. Et cette communication représente l’accomplissement des conseils. La dédicace du maître a été permise favorablement. J’ai organisé le travail et j’ai réussi à reconstruire l’aile architecturale avec joie et honneur. Ici, est racontée la sollicitation de la demande. Celle de révéler le raisonnement et la recherche avec éloquence pour égarer vraiment l’esprit par des signes originaux construits avec réflexion et calculs. La maçonnerie de briques doit faire penser à l’éloge et doit honorer, avec une sobriété admirable, en veillant sur la fraternité. L’exécution à cet endroit de l’imagerie a été commandée avec raison et bienveillance comptant sur le remarquable. L’imagerie, en cet endroit, doit émouvoir par d’étonnants trophées sur la surface du corps de l’édifice. Ces épigrammes, difficiles à comprendre, sont d’une magnificence fascinante et elles présentent agréablement l’intelligence sous une forme de métaphore. En même temps, la réflexion est confirmée par la construction artistique. L’aspect général du revêtement : d’élégantes et de savantes épigrammes sont réalisées , dans ce lieu, par une raisonnable dépense due aux briques noirâtres de l’enduit. L’observateur verra forcément l’économie du procédé et la manière savante et honorifique de la beauté du style. »
MB063V
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