Au tribunal, Léonard vante ses maquettes en s’opposant à la nécessité de sa présence sur le site.
De plus, il informe l’auditoire que les voyages le blessent. Mais, le tribunal est sans appel et rapporte quelques dommages de chantiers nécessitant la reconstruction. Des reconstructions, on peut citer l’auberge du grand Dauphin de la Ferté-Beauharnais, qui a été faite en compensation aux troubles créés dans le village par la vue de l’auberge de l’Ecu. Léonard est démis de ses fonctions est doit payer une compensation. Léonard perdra, ici, tous ses tableaux qui seront saisis en compensation du préjudice.
J’évite de me rendre sur les lieux des édifices, car je peux m’appuyer à la maison sur la maquette identique. Je vous en supplie, Majesté, ici j’accomplis les calculs avec rigueur. C’est l’assurance qui garantit l’édification naturellement. Je suis capable de bienveillance dans l’appréciation rigoureuse des mesures du bâtiment. Je ne veux pas m’occuper de la construction et des constructeurs. Le châtiment, décidé et prononcé par sa Majesté, et qui m’a été révélé par la cour de sa Majesté, est frustrant. Par égarement ou excès de folie violente de la colère, vous avez décidé de me tenir éloigné seul, ici ; et, de m’enlever mes serviteurs dévoués. La décision de ce châtiment énoncé a semé un trouble furieux chez les querelleurs. Ils m’ont frappé, poussés avec force et fermement énervés par la colère, d’une façon hâtivement pitoyable. Les projets ont été abandonnés normalement cet hiver. L’enquête judiciaire m’a fait condamner ouvertement et m’a enlevé mes compagnons. C’est un châtiment de colère, où je suis victime des disputes des querelleurs, cela m’effraye. C’est une puissante décision. Majesté, vous avez tort d’avoir porté à la connaissance cette décision, excitée par la colère de sa Majesté. Ici, c’est devenu la violence du roi. Ce châtiment est favorable aux querelleurs, je suis accablé de peines par de belliqueux bourreaux. Ah ! Moi je redresse la tête aux disputes. Car de bon droit je suis supérieur.
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Aller et venir m’affaiblit réellement, supporter les voyages en attelage m’est très difficile. Avec bonté, accordez-le-moi. Les tremblements du chariot me rendent malade. Je suis tellement secoué et cela pendant très longtemps. La bienveillance m’épuise fatalement, bien sûr il est rapporté que cet usage est nécessaire car c’est une manière honorable et efficace pour construire.
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Mais, avec beaucoup de bonté accordée, moi et deux compagnons fidèles pour se déplacer et accomplir l’usage d’aller voir souvent les constructions. J’accomplirai les calculs qui seront exécutés sur les lieux avec rigueur. Je souffre et me blesse à aller visiter successivement et souvent les constructions. Concédez-moi quelqu’un qui supporte ce travail de me rapporter des indications précises qui seront rapportées par des écrits et schémas incontestables et méthodiques.
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Il est vu que les charges contre moi sont considérables et, à cause de cela, le tribunal veut me punir en faisant connaître à sa Majesté avec lucidité que la connaissance des lieux des projets est contestable. Il n’est pas possible de donner des indications précises sans examen irréprochable. Il est nécessaire de s’appuyer sur la rigueur de l’observation. Ici, il est rapporté des dommages qui ont dû être refaits.
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La décision de justice s’appuyait sur mon pouvoir à élever des châteaux et sur mon conseil. La réussite était approuvée seulement avec l’aptitude à faire confiance ainsi qu’avec l’approbation du maître, lors des déplacements, pour voir et faire prospérer l’élévation des châteaux, expliquant que des erreurs ont été révélées. Avec le bâton de jugement, il a été décidé cet arrangement. Sa Majesté a approuvé cette règle raisonnée en s’appuyant sur le fait de l’accord pour construire, ce qui est d’une efficacité incontestable afin de réaliser des économies par beaucoup d’exactitude.
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