Léonard engage sa dernière peinture en gage d’un mariage prochain. Il nous dévoile, sur ce dernier tableau, le visage de la gouvernante et son nom.
Écrit en Italien, nous pouvons lire : « Sacrement Mariage. ESNAULT BLANDINE épouse DE VINCI BLANDINE ». «
La confidence de la femme de ma maison. La femme gouvernante trouve raisonnable et d’usage que notre couple s’appuie sur le serment de faire prospérer et de développer la grossesse. Elle me signale que cette faute est condamnable. J’approuve entièrement le raisonnement de la femme de ma maison. Ici, le plus important est le crime de notre couple révélé par la naissance. La grossesse se développant en sera révélée. J’explique par ce conseil qu’il faut un vêtement qui couvre d’une manière heureuse. Il doit être réalisé de manière uniforme. Ma volonté est de faire réussir et d’être garant d’un refuge en fuyant à l’étranger avec ma femme déshonorée.
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La maison où je me repose me contrarie, cette querelle peut me faire chasser de cet endroit. J’en redoute la privation. La femme gouvernante d’un rire amical me dit que l’emprisonnement est la loi du roi et devenir malade n’est en aucune manière puni par la loi.
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