Jusqu’à l’arrivée de l’hiver, Léonard enchaîne les examens et les certifications de chantiers. Mais décide de limiter ses déplacements, il est tombé de cheval et il s’est fait une fracture du bras.
Tout l’été et l’automne, Léonard a œuvré à l’édification d’auberges dont un plan d’implantation dessiné au début de l’été nous indique les situations. Accompagnant, de fait, trois grands projets de châteaux.
Aujourd’hui, de ces trois grands châteaux, il ne subsiste que celui de Lassay sur Croisne et celui de Chambord. Le Palais de Romorantin n’a pas excédé les soubassements, ce qui était d’ailleurs le cas pour Chambord en cette fin d’année 1518.
Je dois ralentir mes tours chevauchés pour façonner et enseigner les calculs avec beaucoup d’exactitude. Les explications de bonnes qualités sont la rigueur de la sagesse. Je vois l’hiver arriver qui fait tomber les feuilles et refroidir. Ici, je suis presque tout le temps malade. La prudence est de refréner mes tours expliquant brièvement que me transporter rituellement me donne la fièvre. Maintenant, je connais les édifices et en homme savant je peux faire des estimations. Cependant, me rapporter tout est nécessaire. J’ai subi une fracture que j’ai réparée avec de petites poutres en les arrangeant sur mon bras. Cet objet est en bronze et en fer tenu efficacement par un baudrier. C’est pourquoi, je suis soulagé du corps pesant suffisamment. Il va de soi que j’ai toujours l’aptitude à me déplacer pour aller voir les projets. L’examen des édifices est réalisé par des tours afin de les certifier.
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