1518 Le final de la fête du ciel

N’ayant pu réaliser dans les temps son aéronef pour impressionner lors de la fête du ciel, Léonard crée un petit jouet pour soutenir sa supplique.

Il demande au roi d’abandonner ses idées de conquêtes guerrières et de se concentrer sur ses efforts pour garantir la paix et notamment envisager la colonisation du ciel.

Comment faire honneur dans cette agitation. A cause de cela, je redoute que l’on triomphe un jour à venir de la soumission de tous à la félicité de l’amour. Il faut former efficacement le public à cette connaissance, lui déclarer par un enchantement efficace observable. Je vais dévoiler mes ailes totalement par l’action de les fabriquer. La raison devra être forte dans l’annonce. Les médisances seront, de fait, supprimées. Je vais divulguer au roi, ici, au château avec beaucoup d’élégance le fait de pouvoir s’envoler grâce à cette arme de jets qui tourne. Ainsi, lui expliquer pourquoi dignement la pacification sera la raison du triomphe et que c’est la charge de la basilique. Les disputes habituelles doivent cesser en ayant confiance en la bienveillance du traité de paix.

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 » L’erreur obstinée de la querelle est de convoiter la destruction des armées. (…) Il faut façonner maintenant le bien, façonné par cette chose, d’une part, comme une œuvre nécessaire et, d’autre part, la jeter violemment et étonner par sa rotation. Ainsi, chercher par cette fabrication à obtenir l’avantage en luttant d’une façon parfaite. Je suis effrayé par les crimes de rage et les emportements excessifs. Les créations et les actes de combat pour tuer sont un dégoût. Je dois chercher à obtenir l’avantage en luttant et je suis obligé, avec effroi, de mettre en pièces les hommes et d’une manière effroyable et zélée alors que je souhaite tellement la paix fraternelle. C’est une demande légitime. Le carnage en vérité en ce qui me concerne est une souffrance infecte ainsi qu’endurer à ce point ces constructions principalement pour votre contentement. C’est un triste entretien sur l’argument de la crainte d’une guerre. J’ai de la colère à imaginer m’épuiser par cette altercation. Supportez ce message rapide en ma possession et en parler soulage mes pleurs. Dignement, je jette cet objet loin de moi et, par surprise, cette ligne qui porte des ailes semblables à une toile d’araignée, s’appuie réellement sur la toile de lin. (…). Enfin, l’objet triomphe en s’alignant par devoir et se forme presque toujours par l’action de la chute. Le fait est, qu’à l’alignement, des baguettes attachées et rayonnantes s’écartent en affermissant le mouvement circulaire et, en plus, elles forment un cercle. Enfin, cet objet suspendu est une beauté parfaite. Faire périr et par trop traiter ces sujets, je suis chagriné et j’ai l’appréhension de devenir un méchant orateur. Ceci ne termine pas ma mission qui est d’élever la conscience avec noblesse. Retardez les crimes enragés et infects et, en général, plaisantez abondamment et niez les querelles. « 

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