Manuscrit Forster II Folio 032R

Pour concevoir un métier à tisser permettant de réaliser du velours, Léonard détail le fonctionnement d’un métier à tisser mécanique.

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Observer la géométrie dans son ensemble est nécessaire pour porter sa réflexion et ainsi prescrire des modifications. La difficulté est d’y réfléchir savamment. La définition des matériaux doit être faite avec rigueur pour être convenablement efficace. Le travail de la laine est un travail pénible mais exacte avec la machine. Le treuil tremble lors de sa mise en mouvement avec d’effroyables gémissements. J’observe que les mouvements sont réalisés avec des efforts rapides. Le battage est de bonne qualité et bien adapté au pressage des étoffes. Le pressage des étoffes peut être régi dans sa rigidité, le battage peut varier. Inévitablement le battage est un bienfait pour soulager convenablement l’exécution du peigne car il permet l’action de lier l’étoffe.

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Le front de la barre de battage doit permettre l’égalisation de la fibre en s’appliquant fortement pour serrer. Le battage est répété en un très grand  nombre de fois par le balancement de la machine. Ce qui engendre la qualité de l’étoffe. Elle est repoussée par la réalisation d’un raclage linéaire. Au milieu l’étoffe est partagée en deux parties et une troisième partie à cet endroit est confectionné et extraite.

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