Manuscrit Forster II Folio 032V

Léonard doit négocier l’achat de grandes quantités de laine aux armateurs …

La fibre naturelle non travaillée ce procure facilement, les bateaux sont fréquents. Il faut la façonner et la teindre, cela la marquera d’un prix.

Je dois acheter en masse. Consciencieusement j’examine adroitement au hasard. Seuls les seigneurs ont l’aptitude de l’inspection. Je dois estimer le produit dans sa structure et le déprécier s’il est mauvais. La réussite est l’entente cordiale.

Attentivement je distingue les laines en connaisseur. Les cordons des ballots de transport sont coupés pour que le produit me soit dévoilé. La critique génère toujours la torpeur en ma faveur.

Sur le pont du bateau l’armateur à toujours une appréhension honteuse car il est éveillé à se qui ne convient pas. Sa crainte est la réclamation ce qui produit visiblement de l’effet. Je suis heureux de constater de la dignité de ma réputation.

Le but est de modérer en hésitant et récapituler ce qui marque le prix de la quantité et l’amoindrir avec modération dans une juste proportion et accepter la marchandise.  Confirmer par une poignée de main l’acquisition et une coutume raisonnable. La confirmation rend heureux l’armateur en le faisant prospéré dans le commerce de la laine. Chercher de part et d’autre un accommodement est le cours des choses.

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